Les jeunes PS, Centre, Verts, PVL et Parti évangélique font campagne pour une législation sur le CO2, lors des élections du 13 juin. Il s’agit d’un premier pas important vers la réalisation de l’objectif de Paris.
De nombreux jeunes qui ne peuvent pas voter sont encore venus jeudi à Berne devant la presse pour montrer l’importance de cette loi « nécessaire pour l’avenir de nos petits-enfants ». Le projet de loi sur le CO2, adopté par le Parlement en septembre, a été attaqué lors d’un référendum, notamment sur le champ pétrolifère.
Ce rassemblement de jeunes montre le nombre de manifestations dans les rues de Suisse depuis 2019, par une jeune militante suédoise Greta Thunberg. L’Alliance de la jeunesse comprend également des membres de plusieurs partis autres que l’UDC et PLR Youth.
Une étape nécessaire
Pour cette alliance, la législation sur le CO2 n’est qu’un «moyen» modéré pour atteindre les objectifs de Paris. Sur le même sujet : Comment envoyer une capture d’écran en pièce jointe ? Il donne un élan à la croissance économique et comprend des mesures de réduction des émissions dans les transports, la construction et l’industrie.
Grâce au financement climatique et à la redistribution au public, la législation sur le CO2 a créé des outils de réinvestissement dans l’économie. Investissez dans l’investissement pour sortir d’une économie simple et stable, ont déclaré les Young Parties.
La loi sur le CO2 est soutenue par une coalition d’associations, d’entrepreneurs, d’organisations non gouvernementales et de partis politiques. En revanche, le comité référendaire, venu du côté économique, a soutenu l’UDC, qui l’a jugé « coûteux et inefficace ». Certains militants de la zone climatique l’accusent également de manquer d’ambition.