Un an de crise : ce que la science a appris sur ce coronavirus imprévisible

D’où vient-il ?

D'où vient-il ?

L’annonce d’un poste de chercheurs qui viennent de rentrer de Chine sous les auspices de l’OMS pour enquêter sur les origines du coronavirus qui a été infecté ne nous a pas beaucoup appris: aucun argument ne soutient ni l’un ni l’autre. infection. Vous quittez le laboratoire P4? Pangolin? Musique animale de Wuhan? Il n’y a aucune certitude. Ceci pourrait vous intéresser : Où trouver toutes les applications ? Mais le microbiologiste français n’est pas surpris: alors que les ambassadeurs de cet envoyé sont pleinement suivis par des responsables chinois, peut-on s’attendre à une révélation? Seul l’espoir, avec l’ouverture de la première frontière modérée, permettra à d’autres chercheurs d’avancer.

En raison d’Étienne Decroly, virologue au CNRS et spécialiste de l’architecture biomédicale et des macromolécules biologiques dans un laboratoire de Marseille, compléter cette recherche est important. « Il n’est pas question de prédire les théories du complot. Mais nous devons comprendre les origines du SRAS-CoV-2 pour ne pas voir la même situation se reproduire dans quelques années. Concernant les origines du virus, nous avons une seconde caution qui nous permet de comprendre « La peste a éclaté tôt à Wuhan. Actuellement, il nous manque toutes les manifestations de la chaîne de transport et nous n’avons que des spéculations. »

Quant au gène CV-2, différentes conditions ont été développées. Particulièrement troublante est la virulence d’un laboratoire dépassant les traits de personnalité, comme dans un film de Terry Gilliam sorti en 1995: « Army of Twelve Monkeys ». Plus important encore, le virus ancestral est sans aucun doute un virus toxique puisque 96% de ses caractéristiques sont similaires à celles du virus RaTG13 trouvé sur ces animaux dans une mine du Yunnan en 2013. On a longtemps supposé qu’un autre animal aurait pu agir comme un médiateur invité. Mais la fonction du pangolin a été éliminée et, selon certains virologues, aurait pu être transmise directement du lit à la personne.

L’une des attractions de cette mine de cuivre du Yunnan, est à 1500 km de Wuhan. En 2012, une grave peste pulmonaire a frappé six mineurs en activité et fait trois morts. Par la suite, un certain nombre de nouvelles couronnes ont été découvertes dans la mine, y compris le frère de RaTG13, le plus proche connu du SRAS CoV-2. Et certains qui n’ont pas été génétiquement modifiés. Ces colons ont été étudiés dans divers laboratoires chinois, comme ceux de Wuhan. Selon Étienne Decroly, l’état du laboratoire et la fuite d’un virus …

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